Pour Jean-Claude Mailly, « si la réélection d’Emmanuel Macron revêt une légitimité incontestable, elle n’implique pas obligatoirement consentement sur un programme, ce que lui-même avait d’ailleurs reconnu au Champ de mars le soir de sa victoire. Première erreur donc. »
Première erreur donc ! De combien de ces erreurs le Gouvernement se rend-il coupable dans le choix et l’appréhension de sa méthode en matière de réforme des retraites ?
Retrouvez cette tribune à paraître dans le prochain Liaisons sociales Magazine de mi-mars – n° 240 : https://boutique.info-socialrh.fr/