Dans le cadre du projet Kairos déployé depuis juillet 2018 et visant à accroître la compétitivité du groupe en France, Schneider Electric multiplie les accords de performance collective, nouvel outil issu des ordonnances Macron. Après Carros (Alpes-Maritimes), Dinel (Seine-Maritime) et Dijon (Côte-d'Or), l'électricien a conclu avec ses organisations syndicales une nouvelle vague d'accords, dits "APC", à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), Angoulême (Charente) et Chasseneuil-du-Poitou (Vienne). D'autres sites industriels, comme Limoges (Haute-Vienne), devraient leur emboîter le pas. Au menu de ces accords à durée indéterminée : des engagements sur l'emploi et les investissements, une montée en compétences des collaborateurs et une réduction de l'intérim, en contrepartie d'une augmentation du temps de travail et d'une plus grande modulation des horaires.