Nikolas Vandelanotte, le PDG de Vandelanotte, un cabinet d'audit et de comptabilité basé en Flandres, a mis au défi ses nouvelles recrues : si vraiment elles ne se sentent pas bien, elles peuvent non seulement démissionner, mais en plus, l'employeur leur versera une prime, pouvant aller jusqu'à 7 500 euros ! Ainsi, un salarié qui déciderait de partir au bout de trois mois d'embauche recevra cette somme. S'il part au bout de deux mois seulement, ce sera 5 000 euros. Et après un mois, 2 500 euros. "C'est un signal à tous nos futurs employés. Si vous venez travailler chez nous, nous sommes quasiment certains que vous ne nous quitterez pas", a expliqué le patron dans la presse. Pour voir comment cette initiative allait être accueillie, il a mené une enquête auprès des salariés en poste. Le résultat ? Apparemment, rien ne pourrait actuellement les convaincre de partir ! Mieux, à chaque fois qu'une prime de départ possible ne sera pas versée, l'entreprise en profitera pour organiser un événement festif. "Si l'un de nos clients proposait cette idée, reconnaît Nicolas Vandelanotte, nous le prendrions certainement pour un fou."