Rien n’y fait. Les politiques publiques se succèdent, mais l’emploi reste un mirage pour les jeunes sans diplôme. Dernier-né, le contrat d’autonomie du plan Espoir banlieues, qui table sur l’accompagnement individuel et ouvre le placement aux consultants privés, démarre timidement.
Il y avait de quoi désespérer les cités de Roubaix, Mantes-la-Jolie, Marseille et autres quartiers prioritaires de la politique de la ville. Mais aucune n’a bougé. Et pourtant, la situation des jeunes sans qualification est la pire qui soit depuis dix ans. Trois ans après leur en
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant