Les patrons français quittent toujours leur poste les poches pleines. C’est ce qui ressort de l’étude réalisée par le cabinet Hewitt sur les indemnités de départ des dirigeants du SBF 120. Ainsi, plus de 80 % ont encore un contrat de travail qui les lie à leur société, contrairement aux recommandations faites par l’Afep et le Medef. Et, pour 32 %, « l’empilement d’indemnités diverses entraîne le dépassement du plafond de vingt-quatre mois de rémunération », selon Hewitt, qui en appelle à plus de transparence.