Selon le quotidien La Stampa, le plan de sauvetage d’Alitalia commandé par Silvio Berlusconi à la banque Intesa Sanpaolo et à un consortium d’investisseurs italiens supprimerait de 4 000 à 7 000 postes. Le plan Air France-KLM, rejeté par les syndicats, prévoyait 2 120 suppressions de postes.