La direction et les syndicats (CGT, FO, CFDT, CFE-CGC) de ce groupe spécialisé dans les produits frais de charcuterie bouclent une négociation sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. Le projet d’accord prévoit d’élargir les travaux de la commission formation du comité d’entreprise à la GPEC. Le texte préconise également un accompagnement plus formalisé des mobilités internes et un entretien de seconde partie de carrière pour favoriser le maintien dans l’emploi des salariés seniors.

Le nouvel accord sur l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes se décline en 10 engagements. L’entreprise rappelle le principe d’égalité de traitement dans les critères de sélection et de recrutement et s’engage à garantir un accès égal aux postes peu féminisés et d’encadrement. Elle souhaite aussi favoriser l’accès à la formation professionnelle après le congé maternité pour permettre une reprise d’activité plus facile.

La filiale française met en place un groupe de veille sur le sujet. Seront présents des membres de la DRH et des médecins du travail, mais ni les DP ni le CHSCT ne sont associés.