Le stress a fait son entrée dans le Code du travail : l’employeur doit veiller à la santé physique et mentale des salariés. Et, en vertu de la jurisprudence, cette obligation est de résultat. Toute la difficulté va donc être de différencier le management ordinaire de ses dérives, source de tensions nerveuses excessives. Un sujet sur lequel la chambre sociale se montre très sourcilleuse.
État accompagné de plaintes ou dysfonctionnements physiques, psychologiques ou sociaux résultant du fait que les individus se sentent inaptes à combler un écart avec les exigences ou les attentes les concernant. » Nos partenaires sociaux, qui négocient sur le stress au travail ju
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant