Une jurisprudence concernant l’usage du Web par les salariés ou les syndicats, ainsi que son contrôle par l’employeur, continue à s’étoffer. Elle tend à donner un peu plus de latitude qu’auparavant à l’entreprise pour surveiller les surfs de ses collaborateurs sur la Toile et à recadrer les syndicalistes qui franchissent la ligne jaune sur des sites intranet ou Internet.
Entre Facebook, Second Life, Meetic et autres, les entreprises se plaignant il y a dix ans des « divagations courriels » de leurs salariés regrettent le bon vieux temps : véritable phénomène de société, le « Web Travail 2.0 » a envahi les bureaux.Mais nombre d’employeurs pensent
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