Après les noms d’oiseau, c’est apparemment l’heure sinon de la réconciliation, du moins de la trêve au sein du ménage Medef-UIMM.Créée au début des années 70 pour aider financièrement les firmes en butte à des conflits sociaux, l’Epim n’est pas en soi plus condamnable que la Cnas
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