Pour résorber la pénurie qui frappe la profession des aides-soignants, l’agence d’intérim et de recrutement L’Appel médical propose aux intérimaires un cursus de formation et de validation des acquis de l’expérience. Objectif : les aider à décrocher le diplôme d’État en leur proposant un accompagnement serré. Les candidats doivent justifier d’une qualification d’aide à domicile ou encore d’aide de vie scolaire.

Sciences po multiplie les partenariats. D’abord avec HEC, avec qui elle crée un double diplôme qui s’adresse aux étudiants des deux institutions et vise à leur apporter une double compétence en management privé et public. Ensuite avec l’École nationale supérieure des techniques avancées, dont les ingénieurs diplômés pourront intégrer Sciences po en quatrième année sans passer sous les fourches caudines du concours. Sélectionnés sur dossier et entretien, ils seront diplômés de Sciences po après deux ans de formation. Objectif : faciliter l’accès de ses diplômés à des carrières dans les institutions étatiques et internationales.

L’enseigne vient de signer une convention avec les universités Paris VIII et Paris XIII pour favoriser l’insertion professionnelle des étudiants en licence de sciences humaines et sociales. Auchan fournira des offres de stage, aidera à la préparation des entretiens de recrutement et à la rédaction de CV.

L’entreprise vient de signer une convention avec le secrétariat d’État chargé de la Politique de la ville. EDF recrutera d’ici à la fin de l’année 3 000 jeunes en apprentissage ou en contrat de professionnalisation. Des jeunes tous issus de quartiers difficiles.

Les 700 licences professionnelles (bac + 3) des IUT ont la cote chez les recruteurs. 80 % des diplômés décrochent un emploi aussitôt leur diplôme en poche. Mais les salaires proposés sont les mêmes que pour les titulaires d’un DUT (bac + 2).

En effet, les entreprises n’ont pas encore intégré ce niveau de formation à leurs grilles de rémunérations.