La volonté de plus en plus affirmée des responsables d'entreprise de lier rémunérations et performances économiques et la modération salariale née de la crise, puis des 35 heures, poussent au développement de l'intéressement.
L'intéressement a le vent en poupe. De 1300 en 1985, le nombre des accords signés est passé à plus de 14 600 en 1997, selon le ministère de l'Emploi et de la Solidarité. Et les experts s'attendent que ce dispositif vieux d'une quarantaine d'années retrouve une seconde jeunesse à
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant