La célèbre plate-forme commence à séduire les entreprises. Surtout pour recruter. Certaines créent leur espace RH, d’autres tiennent forum ou draguent les diplômés sur un campus virtuel.
Dans la vraie vie, Vincent Delpeux a 42 ans, habite Lyon et gagne sa vie comme plasticien. Par curiosité, mais aussi avec l’espoir d’arrondir ses fins de mois, Vincent s’inscrit, en janvier, sur le site Second Life, ce monde virtuel imaginé en 2003 par le groupe californien Linde
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant