Entre concentrations, concurrence des génériques et réduction des dépenses de santé, Pfizer et Sanofi-Aventis compriment leurs réseaux commerciaux. Législation oblige, les deux labos se plient à l’exercice de la gestion prévisionnelle de l’emploi, mais pas au même rythme.
La potion est amère pour les visiteurs médicaux. Après les années fastes, au cours desquelles les effectifs de ces VRP du médicament ont suivi l’envolée des chiffres d’affaires des labos, voici venu le temps des restructurations. « Rien qu’en 2006, l’industrie pharmaceutique a co
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