Inconnue ou presque il y a encore cinq ans, la prise d’acte de la rupture par le salarié – l’autolicenciement – connaît une singulière fortune en droit du travail… et dans la pratique. C’est devenu, par la grâce de la chambre sociale de la Cour de cassation, un mode de rupture alternatif à la démission. État des lieux de cette jurisprudence très protectrice du salarié.
Entre la rentrée et la relative embellie de 2007, la mobilité externe semble en hausse. Mais alors qu’il y a dix ans elle se traduisait par une augmentation des démissions, les chiffres vont en sens inverse : 15 788 démissions en mai 2006 et seulement 14 816 en mai 2007. Curieux
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant