L’annonce, fin juillet, par le président de la République, de la mise en place d’une franchise de 0,50 euro par boîte de médicaments a provoqué une levée de boucliers, bien qu’il s’agisse de financer notamment un plan de lutte contre la maladie d’Alzheimer, et non de renflouer les caisses de la Sécurité sociale, comme il avait été envisagé initialement. Trois experts donnent leur point de vue sur ce type de mécanisme.
Pierre-Yves Geoffard Directeur de recherche au CNRS“Une franchise peut contribuer à réduire la part des dépenses inutiles”Il y a plusieurs manières d’aborder cette question. Dans une logique comptable, une telle mesure viserait à équilibrer le budget de la Sécurité sociale : ce s
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