L’artiste russe, passé de l’avant-garde à la propagande, est exposé au musée d’Art moderne de la ville de Paris.
On ne connaît pas son prénom, juste ce menton tourné vers l’horizon, ce visage déterminé qui en font la « pionnière » de 1930. Dans d’autres photos de défilés militaires et parades sportives, les plans coupent les corps en morceaux, réduisant les humains à de parfaits rouages.Ale
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