Patron de FO depuis trois ans, ce pédagogue fait de l'anti-Blondel. En interne comme sur la scène médiatique. Il lui reste à remettre la centrale dans le jeu conventionnel.
De son bureau au rez-de-chaussée du siège de Force ouvrière, avenue du Maine, Marc Blondel ne trône plus. Son poulain, Jean-Claude Mailly, ne s'est pas contenté de prendre sa place, au 5e étage. Sans heurt, ce dernier a coupé les ponts, imposant son style et sa méthode. Une révol
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