Rigueur budgétaire oblige, les prud'hommes sont dans le collimateur de la chancellerie. Mais l'hétérogénéité du fonctionnement d'un conseil à l'autre rend difficile une mise en coupe réglée.
Le 20 juin, Jean-Pierre Piovesan demandera raison à la cour d'appel de Chambéry. Cet ancien président du conseil de prud'hommes de Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) a été condamné en juillet 2006 en correctionnelle pour faux, usage de faux et escroquerie envers l'État. Tarif : troi
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant