Mis en place début 2005, l'Observatoire des coûts de la formation de la branche du travail temporaire rend ses premiers travaux sur le coût de la formation de cariste (Caces), qui représente 38 % des formations financées par la branche. Objectif : aider les entreprises à optimiser leur achat de formations.
Les prochaines études concerneront les formations de maçon et de soudeur.
Pour exister à l'international, les 11 écoles d'ingénieurs de ParisTech (l'École des mines, Polytechnique…) se dotent d'un conseil d'orientation stratégique, présidé par Bertrand Collomb, patron de Lafarge. Le consortium annonce la création d'une fondation commune aux établissements et prévoit de constituer un pôle de recherche et d'enseignement supérieur.
L'organisme de formation privé n'annonce pas moins de trois partenariats avec des universités en 2006 : un master en ingénierie des échanges et implantations internationales avec Bordeaux IV, un autre en ingénierie de la formation avec Toulouse 1 et un MBA avec l'Escem. Quatre autres partenariats devraient suivre.
L'un des objectifs est de proposer à ses clients des formations diplômantes de haut niveau qui ne figuraient pas jusqu'à présent à son catalogue.
Le nombre de volontaires internationaux en entreprise a bondi de 30 % en 2005 contre 18 % l'année précédente. Cette formule permet aux entreprises (principalement des PME) de confier à des jeunes diplômés une mission de six à vingt-quatre mois à l'étranger. Un succès qui s'explique : 70 % des volontaires se voient proposer un poste à l'issue de la mission.
Pour répondre au besoin d'aides-soignants en Aquitaine, la région a décidé de financer l'intégralité des coûts de formation (3 300 euros) à compter de septembre 2006. Près de 1000 personnes sont formées chaque année. Les formations sanitaires et sociales représentent un tiers du budget formation de la région.
