Créés par une loi de 1993, les nouveaux fonds de pension de branche ont bien du mal à décoller en Italie. Leur développement est handicapé par le niveau élevé des cotisations au régime public et par l'avantage très relatif qu'ils procurent.
Si les fonds de pension ne décollent pas, nous aurons des générations de retraités pauvres » : l'auteur de cette mise en garde n'est pas un pur produit du libéralisme, mais Massimo D'Alema, le président du Conseil italien, issu des Démocrates de gauche. Dans la Péninsule, c'est s
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