Mieux vaut prévenir que guérir. Louable, l'objectif poursuivi par la loi du 18 janvier dernier réformant le licenciement économique risque de soulever de délicats problèmes d'interaction entre le plan de reclassement préventif, façon GPEC, et le dispositif curatif du PSE. Autre apport de la loi : un sérieux tour de vis aux possibilités de réintégration.
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant