Présentée comme la condition sine qua non de la réussite des 35 heures, la réorganisation du travail est pourtant la grande oubliée des négociations de terrain. À la Générale des eaux, à EDF ou chez Renault, la répartition des congés, le volume d'emplois créés ou les contreparties à la flexibilité ont monopolisé les débats.
Économistes, chercheurs et consultants le répètent à l'envi. Pour ne pas alourdir les coûts de production de l'entreprise et concilier au mieux ses intérêts avec ceux des salariés, bref pour réussir la délicate alchimie de l'accord gagnant-gagnant, la négociation sur les 35 heure
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