Si, au mépris de la loi Toubon, des groupes français cèdent aux sirènes de l'« english spoken » et à ses excès, d'autres se montrent pragmatiques en multipliant formations et traductions tout en usant de l'anglais avec modération. Côté salariés, certains font de la résistance : les uns pratiquent le globish, les autres n'hésitent pas à recourir au juge.
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