Sa puissance financière, ses réseaux et son ancrage historique assurent à la métallurgie une place prépondérante au sein du monde patronal, où elle a toujours eu la haute main sur les dossiers sociaux. Mais, désormais concurrencée par les services, l'UIMM va devoir s'adapter pour continuer à régner.
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luctuat nec mergitur. Si la devise n'était pas déjà prise, l'UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie) aurait pu la faire sienne. La « puissante » fédération patronale de la métallurgie, « une tautologie », plaisante son vice-président délégué généra
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