Afin de mesurer les impacts des nouvelles technologies de l'information et de la communication « nomades » (TIC) sur les hommes et les organisations, Toshiba Systèmes France vient de s'associer à HEC. L'entreprise finance, pour une durée de cinq ans, une chaire placée sous la responsabilité de Charles-Henri Besseyre des Horts, professeur au département management des ressources humaines.
L'université d'Auvergne ne manque pas d'idées originales. Depuis octobre, une douzaine d'étudiants expérimentent une filière universitaire inédite destinée à former de futurs commerciaux à l'exportation de matériels de boulangerie-pâtisserie. Une formation en alternance qui répond à une demande des entreprises du secteur.
Pour recruter les managers de proximité quiœuvrent dans les organismes de protection sociale, l'Ucanss et l'université de Marne-la-Vallée ont créé la licence professionnelle Manager dans la protection sociale, qui accueille ce mois-ci sa deuxième promotion d'étudiants.
Pour la deuxième fois consécutive, l'Observatoire permanent de la Fédération de la formation professionnelle (FFP) note sur l'exercice 2002 une baisse du chiffre d'affaires de ses adhérents qui représentent un tiers de la profession. Ce CA, qui s'élève à 775 millions d'euros HT, diminue de 1,6 % par rapport à 2001. La major- ité des recettes (71 %) proviennent des entreprises, puis des pouvoirs publics (26 %) – en recul constant depuis 1996 – et enfin des particuliers (3 %). En commentant ces résultats économiques, la FFP continue de dénoncer la concurrence déloyale des organismes publics, Greta, organismes consulaires, Afpa, universités et du Cnam, qui se positionnent sur son créneau.
Dans la droite ligne de l'accord national interprofessionnel sur la formation qui promeut le droit individuel à la formation transférable, Adia et l'Afpa viennent de signer un accord national de partenariat. Il s'agit de renforcer les actions de formation, d'évaluation et de qualification qui concourent à créer un véritable « statut intérimaire ».
Chaque année, près de 7 000 postes sont à pourvoir dans la plasturgie, mais seuls 2 000 jeunes sortent des formations spécialisées avec un diplôme en poche. Secteur abonné aux pénuries de main-d'œuvre, la plasturgie cherche à sensibiliser des candidats de plus en plus jeunes. Les chefs d'entreprise proposent ainsi aux collégiens de 4e et de 3e un « voyage dans la plasturgie », qui consiste à passer dans l'une des 4 000 entreprises du secteur la semaine « séquence d'observation » qu'ils sont tenus de faire.
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