Prix administrés, génériques, déremboursements… l'État fait feu de tout bois pour limiter la hausse des dépenses. Mais, à coups de copies et de marketing, les labos parviennent à tirer leur épingle du jeu.
Haro sur l'industrie du médicament ! Dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2004, le gouvernement Raffarin sollicite les laboratoires à hauteur de 320 millions d'euros supplémentaires, notamment en modifiant le calcul de la taxe sur leurs dépenses de pr
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant