Censé remettre en selle des jeunes en rupture, le contrat d'accompagnement à l'autonomie mis en place par le conseil général de la Gironde n'aura pas passé le cap des dix-huit mois. La belle idée s'est avérée trop difficile à gérer sur le terrain.
L'initiative était louable. Pour remettre sur le chemin de l'insertion des jeunes de 18 à 25 ans en rupture totale avec la société, le conseil général de la Gironde, présidé par le socialiste Philippe Madrelle, a tenté d'apporter une réponse fin 1999, avec la création d'un contra
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