Course à la performance, flexibilité accrue, organisation bouleversée : telles sont les contreparties aux rémunérations élevées et autres avantages des salariés de Cofiroute, seul acteur privé du secteur. Rien de tel à la Sanef, où la gestion est plus administrative. Pour l'heure en tout cas, car la société figure parmi les privatisables.
L'hiver promet d'être rude à la Société des autoroutes du nord et de l'est de la France (Sanef). Non pas tant en raison des risques de verglas ou de chute de neige, monnaie courante pour les salariés qui veillent à la fluidité de la circulation et assurent l'entretien du réseau l
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant