Ponctionné par l'État et détourné de sa vocation première, le 1 % logement était donné pour mort il y a cinq ans. Grâce à une reprise en main par les partenaires sociaux, à une refonte des aides aux salariés et à un grand ménage parmi les collecteurs, il s'offre une seconde jeunesse. Et renforce son action dans le locatif social.
Des organismes collecteurs bénéficiaires de véritables rentes de situation ; des pouvoirs publics prompts à ponctionner les caisses, des prêts distribués de façon assez anarchique et, au final, des salariés souvent privés d'accès au logement : voilà le tableau peu reluisant
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