Les arrêts de travail coûtent cher aux employeurs et aux régimes sociaux. Dans la plupart des pays européens, pouvoirs publics, entreprises et acteurs sociaux s'efforcent donc d'en réduire le nombre. Avec plus ou moins de réussite. La palme revient à la Norvège, avec un plan très volontariste échafaudé par l'État et les partenaires sociaux.
Qu'il soit dû au stress, à un accident du travail, à une grippe ou à la simple flemme du salarié, l'absentéisme coûte cher : il plombe les comptes sociaux, désorganise les entreprises et freine la production. Avec 3 % des heures de travail perdues pour absentéisme, selon la derni
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant