De l'aménagement des « chambres d'allaitement » à l'interdiction d'affecter des femmes au « transport sur tricycles porteurs à pédales », le Code du travail contient nombre de dispositions tombées en désuétude. Car ce volumineux mille-feuille ingère sans cesse de nouveaux textes qui viennent s'empiler sur les plus anciens. Un dépoussiérage s'impose.
Un énorme pavé de 2 380 pages ! Il ne s'agit ni d'une nouvelle somme de « la Pléiade » ni de l'œuvre complète de Marcel Proust, mais de la 64e édition du Code du travail, qui sort ce mois-ci chez Dalloz. « Cela fait des années que le nombre de pages augmente », soupire Caroline D
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