Subventions, sièges d'administrateurs, détachements : les cinq grandes confédérations syndicales ont de sérieuses raisons de vouloir conserver le bénéfice de la représentativité légale. Sans ce traitement de faveur, les plus petites, la CFTC et la CGC, auraient le plus grand mal à survivre.
Attention, sujet tabou ! La représentativité des syndicats français laisse songeur tant elle relève davantage du mirage que d'une représentation réelle. En 1997, aux élections prud'homales, seulement 34 % des inscrits ont voté. Pire que pour une cantonale ! Plus récemment, cette
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant