Petit à petit, la globalisation de l'économie se répercute sur le quotidien des salariés. Les états-majors sont de plus en plus lointains, ils brassent des cadres de nationalités différentes, l'anglais et les méthodes de gestion à l'anglo-saxonne s'imposent partout. Et plus aucune équipe n'est à l'abri d'une décision d'externalisation ou de délocalisation.
À la Roche-sur-Yon aussi la mondialisation provoque des remous. Certes, ce n'est pas Seattle, ni Gênes, mais au moins 1 500 salariés de Brandt ont manifesté en janvier dans les rues de la paisible préfecture vendéenne pour protester contre les effets de la globalisation. Les offr
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