Axa fait des émules. C'est en 1990 que l'assureur créait son fameux chèque syndical. Aujourd'hui, que ce soit sous forme d'un chèque versé par les salariés à l'organisation de leur choix ou d'un forfait alloué au prorata des résultats électoraux, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à subventionner le syndicalisme.
C'est un rituel bien rodé chez Axa. À l'automne 2001, pour la troisième fois en dix ans, direction et syndicats ont rouvert l'épais dossier du droit syndical. « Il s'agit de compléter l'accord de 1990, renégocié en 1998, notamment sur l'accès des syndicats à l'intranet », précise
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