Philippe Martinez, faire le bilan, fébrilement, en se remémorant chaque négo
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Un syndicalisme de rupture suffit-il d’être nommé pour être réalisé ? En huit années à la tête de la confédération, le secrétaire général a oscillé entre coups d’éclat, accommodements et preuves d’ouverture pour maintenir l’influence de la CGT. Quitte à faire l’économie d’un débat sur la stratégie et les pratiques syndicales.
En amont de chaque congrès de la CGT, c’est quasiment devenu une habitude. Phosphorer sur des débats qui s’annoncent rugueux, survaloriser le nombre et la qualité des amendements au document d’orientation, le programme de la prochaine direction confédérale, désépaissir les contes
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