Politique sociale | REPORTAGE | publié le : 01.09.2001
| Anne Fairise
Ce n'est ni un nouvel avatar de la saga des Grimaldi ni une affaire de blanchiment qui agite la principauté… mais les retombées des lois Aubry. À défaut des 35 heures, dont les patrons monégasques ne veulent pas, le gouvernement propose une compensation salariale. Au rabais, dénoncent les syndicats et certains parlementaires.
« Oui aux 35 heures, non au travail gratuit. » Quand ils ont vu arriver la petite troupe bien maigrelette de manifestants, le 21 juin dernier au pied de la haute tour du quartier de Fontvieille, les membres de la Fédération patronale monégasque (FPM) ont soupiré de soulagement. R
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