Le syndicat des cadres a choisi de hausser le ton face au patronat et au Gouvernement. Et cette technique paye. La « troisième voie » entre réformisme et contestation impulsée par son président, François Hommeril, lui permet de toucher les préoccupations d’une population cadre de plus en plus paupérisée.
Il y a des congrès syndicaux plus confortables que d’autres. Autant celui de la CGT qui se tiendra du 27 au 31 mars prochain à Clermont-Ferrand risque de virer à la foire d’empoigne entre partisans de Marie Buisson – la dauphine désignée de Philippe Martinez pour la direction de
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