L’« esprit start-up », c’est la coolitude assumée. Passé les levées de fonds, quelques-unes de ces entreprises grandissent et deviennent « licornes ». Comment structurent-elles alors leurs ressources humaines. Le « cool » permet-il des innovations sociales ?
Qui dit start-up, pense immédiatement baby-foot, afterwork, équipe de potes, tutoiement, management quasi-familial et chief hapiness officer. « Le cadre de travail est érigé comme un symbole de conditions de travail agréables à vivre », résume Marion Flécher, docteure en sociolog
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