L’Institut Montaigne revient à la charge. Convaincu que le syndicalisme de services est l’un des leviers à activer pour recréer de l’adhésion à une époque où le militantisme est au plus bas, le think tank propose d’expérimenter une mesure visant à rendre le bénéfice des accords limité aux seuls adhérents des syndicats signataires. Rencontre avec Franck Morel, senior fellow de l’Institut.
Ce n’est pas la première fois que vous abordez le syndicalisme de services dans vos travaux pour l’Institut Montaigne. Déjà, en 2016, dans l’ouvrage Un autre droit du travail est possible (Fayard), co-écrit avec Bertrand Martinot, vous recommandiez une expérimentation en ce sens
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