C’est un bras de fer qui se joue entre le Gouvernement et les partenaires sociaux. L’enjeu : Action logement, le premier bailleur social français situé dans l’orbite paritaire. Un statut que l’État, qui lorgne ses presque 2 milliards de trésorerie, aimerait bien modifier pour en faire un outil de ses politiques publiques. Au risque de provoquer une crise de la construction et du logement social.
Matignon, Bercy, le ministère du Logement… Depuis des semaines, le silence radio est observé à tous les étages sur le dossier Action logement (ancien « 1 % Logement », créé en 1953 et géré par les syndicats d’employeurs et de salariés). Mais la réforme du premier bailleur social
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