Dans son enquête « Aux bons soins du capitalisme », la sociologue Scarlett Salman critique l’usage du coaching en entreprise. En « transférant la responsabilité de l’entreprise vers l’individu », cet outil serait emblématique du néolibéralisme.
Le coaching individuel symbolise-t-il un capitalisme à visage humain ? Ou témoigne-t-il d’un libéralisme captant la subjectivité des managers ? Au nom « du bien-être », les critiques pleuvent depuis vingt ans sur cet accompagnement des cadres supérieurs. Mais qu’en est-il en prat
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