L’Espagne veut tourner la page des taux de chômage record et des enchaînements de contrats temporaires en offrant à la fois des outils de flexibilité aux entreprises et une meilleure sécurité aux salariés.
« Nous allons en finir avec la culture de la précarité. » Ce 3 février à Madrid, la ministre du Travail, Yolanda Díaz a les yeux brillants. Les mots lui manquent pour exprimer son émotion. La réforme du travail vient d’être approuvée au Parlement. De justesse, à une voix près, au
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant