Difficile d’y échapper : des couvertures de magazines qui s’entichent de portraits de reconvertis comblés aux études décortiquant les incontournables métiers d’avenir, en passant par les publicités pour les bilans de compétence, les appels à la reconversion professionnelle bénéficient d’un écho inégalé. Certes, il faut bien distinguer l’aspiration du passage à l’acte, les motivations qui y mènent, les changements subis ou voulus, les trajectoires disparates et l’accès incertain à un nouveau job en fonction des tranches d’âge, des catégories socioprofessionnelles et des bassins d’emploi.
C’est précisément cette grande hétérogénéité des parcours et les difficultés à s’y retrouver qui alimente aujourd’hui un foisonnement d’offres publiques et privées, gratuites et payantes, à destination des salariés. « Se reconvertir, c’est du boulot ! », titrait récemment une étu
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