Alors même que la quatrième révolution industrielle porteuse de nouvelles technologies pourrait remettre en cause la place du travail dans nos vies, l’anthropologue et historien James Suzman se penche sur le passé du travail pour mieux éclairer son présent. Ce dernier a pris une importance considérable puisqu’il détermine les personnes avec qui nous passons l’essentiel de notre temps, façonne nos valeurs morales et politiques, nos perspectives d’avenir mais il n’en a pas toujours été ainsi : au temps des premiers homo sapiens, il ne jouait pas ce rôle primordial et a même été longtemps dévalorisé. Les patriciens de l’Antiquité, les nobles de l’Ancien Régime le réservaient à la plèbe. Alors pourquoi valorisons-nous autant le travail aujourd’hui ? Pénétrant dans le monde de la physique, de la biologie de l’évolution et de l’anthropologie, l’auteur déconstruit nos représentations ordinaires en s’appuyant sur vingt-cinq ans de recherches, à l’interface entre les tribus de chasseurs-cueilleurs, les premières sociétés agricoles et le monde industrialisé.

Souhait pour l’employeur de bénéficier de la sécurité juridique, volonté pour le salarié de toucher l’assurance chômage, intérêt commun de terminer un litige au plus tôt… Quel qu’en soit le motif, force est de constater que les départs négociés se sont multipliés ces dernières années et qu’ils concernent désormais tous les types de salariés mais davantage les cadres que les autres. Dans ce manuel pratique, l’auteur examine les caractéristiques des différents accords (rupture amiable, la rupture conventionnelle et transaction) ainsi que leurs incidences fiscales et sociales : quel est le caractère des sommes envisagées ? Sont-elles soumises à charges sociales ? Entrent-elles dans l’assiette de l’impôt sur le revenu ? Ces accords permettent-ils de bénéficier des prestations de chômage ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage apporte des réponses concrètes.