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Décodages

Ils témoignent

Décodages | Recrutement | publié le : 01.06.2021 | Irène Lopez

Edward Van Wynsberghe, Sales manager au sein des équipes advertising, au siège d’Amazon France à Clichy (Hauts-de-Seine) :

« Je suis rentré chez Amazon en octobre 2008. J’étais jeune diplômé d’une école de commerce de Grenoble. J’ai commencé comme responsable commercial au sein de la market place, pour recruter de nouveaux vendeurs. Deux ans plus tard, j’ai participé au lancement de places de marché en Italie et Espagne. Cette opportunité est venue assez naturellement car je parle espagnol. Chez Amazon, on s’appuie sur vos compétences et/ou on vous donne la chance d’en acquérir de nouvelles. Il y a toujours des postes ouverts et nous avons accès à l’intégralité des postes proposés. Nous nous projetons à deux, cinq ou dix ans. Nous nous construisons avec notre manager. Il y a une vraie réflexion sur notre parcours professionnel.

Aujourd’hui, j’occupe mon septième poste. Après avoir travaillé sur les market place, puis au sein de l’activité retail, je travaille au sein de l’entité Advertising. Or, je n’avais aucune connaissance de la publicité. On m’a donné le temps de me former. Durant les premières semaines, on n’attend rien sur les livrables. J’ai bénéficié d’une formation que je qualifie à dessein d’humaine : un plan d’onboarding avec la présentation de toutes les personnes avec lesquelles je vais que travailler. On me présente tous les chiffres importants du secteur ainsi que les formations en ligne auxquelles je peux avoir accès. À aucun moment je n’ai ressenti une certaine forme de pression. Au contraire, on compte sur nous pour lever la main et dire je n’ai pas compris. Avec douze ans de recul, je continue de progresser tous les jours. Peut-être est-ce plus difficile pour les personnes qui travaillent dans les entrepôts… »

Marwein Bouallous, responsable sureté et prévention des pertes (CDI), entré chez Amazon comme intérimaire dans l’équipe inventaire de l’entrepôt de Boves, près d’Amiens (Somme)

« J’ai une formation de développeur informaticien. Faute d’emploi, je travaillais comme chauffeur Uber. Après un accident, j’ai accepté une mission en intérim chez Amazon, en 2017. Je n’avais jamais travaillé dans la logistique. Je n’avais pas les permis pour conduire les chariots. Au sein de l’entreprise, j’ai eu droit à une semaine de formation à la conduite, puis une autre pour me familiariser avec les procédures. J’ai développé une allergie à cause des chaussures de sécurité. Quand c’est devenu intenable, je l’ai signalé. Je m’attendais à ce qu’on me dise « au revoir ». Or, mon manager, ses homologues et leurs supérieurs ont tout fait pour me trouver des chaussures de sécurité que je pouvais tolérer. J’ai signé mon CDI en janvier 2018.

Un soir, mon manager m’a parlé des difficultés qu’il rencontrait sur des tâches informatiques répétitives. J’ai résolu son problème en un clic. Puisque j’avais montré cette compétence, mon manager et moi avons réfléchi à une évolution professionnelle. Puisqu’il n’y avait pas de poste ouvert sur l’analyse de données, il m’a proposé un poste à la sûreté et la prévention des pertes. Depuis mars 2019, je suis spécialiste sûreté. Je ne m’attendais pas à bénéficier d’une telle évolution, ni d’un tel accompagnement. »

Auteur

  • Irène Lopez