Ce livre propose une analyse critique du capitalisme cognitif qui exige plus d’autonomie dans l’exécution des tâches tout en précarisant les actifs et en les maintenant dans la dépendance économique.
Partout, le taylorisme cède du terrain au profit de l’organisation par projet ou mission chère au capitalisme cognitif, ce qui requiert d’accroître l’autonomie des salariés. Celle-ci devient dans ce nouvel âge du capitalisme un critère majeur de qualification des emplois et d’éva
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant