Touchée de plein fouet par la crise sanitaire, la restauration d’entreprise est à la peine. Victime d’un modèle économique qui repose encore en grande partie sur la fréquentation des selfs, elle est condamnée à se réinventer si elle ne veut pas se faire tailler des croupières par les start-up de la food tech.
Le coronavirus a mis la restauration collective d’entreprise à la diète sévère. L’arrêt brutal de l’activité entre mars et mai 2020 puis sa reprise timide à compter de juin, mais dans un cadre strictement cornaqué par les protocoles sanitaires qui ont empêché les restaurants d’e
Touchée de plein fouet par la crise sanitaire, la restauration d’entreprise est à la peine. Victime d’un modèle économique qui repose encore en grande partie sur la fréquentation des selfs, elle est condamnée à se réinventer si elle ne veut pas se faire tailler des croupières par les start-up de la food tech.
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