Les suicides liés au travail apparaissent comme une véritable onde de choc tant leurs conséquences sont nombreuses. Le récent procès des anciens dirigeants de France Télécom l’a montré : le suicide de salariés peut engager la responsabilité de l’employeur et de ses cadres devant la justice. Malgré ces enjeux ô combien importants, force est de constater qu’il existe une carence de données épidémiologiques permettant de mieux comprendre et de mieux prévenir ces risques. Lorsqu’un cas de suicide survient dans l’entreprise, les DRH se retrouvent en première position sur les questions de santé et de sécurité au travail. Démunis et peu outillés, ces derniers peuvent parfois adopter des stratégies de silence, voire de déni.
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