À la tête de l’agence de notation extra-financière V.E créée par Nicole Notat (ex-n° 1 de la CFDT et auteure avec Jean-Dominique Senard du rapport sur l’objet social de l’entreprise qui a inspiré la loi Pacte), Sabine Lochmann souligne l’intérêt d’introduire une raison d’être dans les statuts, mais aussi les limites de l’exercice.
Deux ans après le vote de la loi Pacte, nombre de sociétés se sont dotées d’une raison d’être. Quelle est selon vous l’explication de cet engouement ?Sabine Lochmann : Il faut replacer ce mouvement dans un contexte international. Nombre de pays ont engagé des démarches similaires
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